Cet argument est martelé sur Toulouse.
Il vient de l'être encore par Martin Malvy.
France 3 Midi Pyrénées vient de faire un micro trottoir sur le sujet.
Chauzy confirme.
Il a une certain vérité ou une vérité certaine dans l'argument.
Nous y avons répondu mais pas assez.
Et surtout au moment où l'actuel aéroport est privatisé…
A la réu du Sénéchal H. Sélié a bien évoqué la question et F. Simon a montré qu'avec l'argent de la LGV il était largement possible à la Région d'acheter le dit aéroport.
Tours-Bordeaux va prendre peu de voyageurs à l'avion ce qui incitera à dire : "mais c'est parce que Toulouse-Bordeaux n'existe pas !"
Il faudrait rassembler collectivement notre argumentation sur ce point en une dizaine de pages pour tenter de la diffuser.
1 ) Les limites du fameux 3 h 10.
2 ) Les aides données par les collectivités aux aéroports.
3 ) Le report modal réel mais très partiel (je rappelle que le cabinet Claraco avait indiqué que les données de RFF étaient justes sur ce point).
4 ) Rappeler que le projet précédent d'aéroport annonçait une saturation qui n'a pas eu lieu même si nous ne devons pas oublier que Blagnac a été agrandi.
Bref, je ne cherche pas à être exhaustif mais à pointer le besoin de cohérence que nous devons mettre en avant nous qui préférons le train à l'avion. Avec l'argument global : la LGV est le boulet qui tue la SNCF.
J-P Damaggio